Nous résisterons à ce confinement qui se rallonge…
Pour ceux qui connaissent Laurence et Jean-Jacques Deléry, soyons rassurés, ils sont rentrés à leur maison cette nuit. Je leur donne rendez-vous sur le jeu d’Emile.
Aujourd’hui une autre proposition de réponses, sur suggestion d’Isabelle. Case 1: qui suis-je? Case 2: (photo en haut à droite) que trouvez-vous au delà de cette échelle? Case 3: quel lac voyez-vous et comment s’appelle la construction que l’on devine sur la presqu’île?
La case 4 est un indice général! Je n’ose pas demander le modèle , le fournisseur et le prix!
Qu’est-ce que vous diriez d’une petite recette de saison? C’est notre amie Isabelle M., la pro du site des Randonneurs, qui me l’a adressée pour vous.
Une de ses bases est un ingrédient de saison, mais tout le monde ne doit pas en avoir car c’est un ingrédient sauvage.
L’ail des ours, ou Allium ursinum, ou ail sauvage: cette plante qui envahit les talus, qui est naturellement si odorante au printemps lorsque nous randonnons ou quand, par exemple, vous circulez sur la D911 entre Grésy et Bassa, fenêtres de voiture ouvertes c’est un véritable embaumement.
Elle est utilisée depuis l’Antiquité pour ses nombreuses vertus médicinales. On en a même retrouvé des traces dans des habitations du Néolithique . Au Moyen Âge elle fut considérée comme une plante magique et associée à la magie blanche… peut-être Gandalf le Blanc en utilisait-il?
Et l’ours est sensé s’en régaler à la sortie de l’hiver, ne lui a-t-il pas donné son nom!
Mais il est essentiel de le différencier du muguet dont les feuilles sont très toxiques: il suffit de froisser légèrement les feuilles qui dégagent alors un parfum d’ail savoureux.
En attendant contentons-nous de déguster avec nos yeux cette belle omelette!